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La BBA Junior Consulting vous accompagne

La BBA Junior Consulting vous accompagne

Au-delà de notre slogan, notre expertise en temps de crise illustre l’engagement que la BBA Junior Consulting a pris pour accompagner les entreprises dans leurs activités respectives. Cet engagement que nous portons se traduit par la mise en place de nombreuses offres spéciales qui vous aideront à répondre à vos besoins actuels.

La BBA Junior Consulting vous informe

La BBA Junior Consulting vous informe

Les infections respiratoires à coronavirus ou plus communément nommées COVID-19 est une maladie infectieuse émergente causée par une souche de coronavirus appelée SARS-CoV-2.

En termes de prévention, le lavage très fréquent des mains, la limitation des contacts interhumains (distanciation sociale, mesures-barrières, confinement), ainsi que le port d'un masque médical par les personnes atteintes, permettent de limiter le taux de contamination du virus et donc de faciliter la gestion de la crise par les services de santé.

Dans ces conditions sanitaires et afin de protéger la santé de chacun, le 27 mars 2020, le Premier Ministre a annoncé le renouvellement du confinement pour deux semaines supplémentaires, soit jusqu’au mercredi 15 avril. Les mêmes règles que celles actuellement en vigueur continueront à s’appliquer. Cependant cette période de confinement pourra être prolongée si la situation sanitaire l’exige.

 

 

Conséquence entreprises / aides gouvernementales :

 

Cet évènement, d'ampleur mondiale, a des conséquences inévitables sur l'économie. En effet, les entreprises sont les premières touchées par cette crise sanitaire sans précèdent. Elles ont dû modifier leurs façons de fonctionner voire arrêter totalement leurs activités économiques, tel que le gel progressif d'un grand nombre d'entreprises. Ainsi, certaines entreprises ont dû, pour la première fois, s'adapter au télétravail afin de poursuivre et d'assurer au mieux leurs activités. Au sein des différentes entreprises, une perpétuelle remise en question de l'organisation est faite car, à ce télétravail, s'ajoute :  la perturbation des plannings, la perte de clients et de commandes. Conséquences qui influent directement sur une baisse considérable du chiffre d’affaires, des licenciements et une réduction du personnel (pour pallier la diminution de ventes) et bien sûr l’inévitable réorganisation de ces dernières.

Les petites et moyennes entreprises se retrouvent autant touchées que les grandes firmes multinationales. En effet, celles-ci n'ont pas forcément la trésorerie (des fonds de roulement limités) nécessaire pour payer les factures qui s'accumulent et combler ce manque de recettes non négligeable, ce qui mène malheureusement certaines entreprises à la faillite. Par ailleurs, par le filtrage des frontières autour de la France, voire la quasi-fermeture de certaines, le contact avec les pays voisins et étrangers s'avère être très limité, notamment en termes d'échange de produits alimentaires, ce qui ne facilite pas les entreprises agricoles en période saisonnière. En manque important de main d'œuvre, ces dernières n'hésitent pas à faire appel à des personnes étant en chômage partiel et qui n'ont pas la possibilité de faire du télétravail.

 

Dans ce contexte inédit, le gouvernement a pris des mesures exceptionnelles pour soulager au mieux les entreprises afin qu’elles puissent continuer partiellement leurs activités. En effet, on retient principalement :

 

  • Des délais de paiement d’échéances sociales et/ou fiscales (URSSAF, impôts) ;

  • Dans les situations les plus difficiles, des remises d’impôts directs pouvant être décidées dans le cadre d'un examen individualisé des demandes ;

  • La suspension des loyers, des factures d'eau, de gaz et d’électricité pour les PME en difficulté ;

  • L’aide de 1500€ pour les petites entreprises, les indépendants, et les microentreprises les plus impactés grâce aux fonds de solidarité ;

  • La mobilisation de l’État à hauteur de 300 milliards € pour la mise en place de prêts bancaires garantis par l’État ;

  • Un soutien de l’Etat et de la Banque de France (médiation du crédit) pour négocier avec sa banque un rééchelonnement des crédits bancaires ;

  • Le maintien de l'emploi dans les entreprises par le dispositif de chômage partiel simplifié et renforcé ;

  • L’appui au traitement d’un conflit avec des clients ou fournisseurs par le médiateur des entreprises ;

  • La reconnaissance par l’État et les collectivités locales de la maladie du coronavirus comme un cas de force majeure pour les marchés publics. En conséquence, pour tous les marchés publics d’État et des collectivités locales, les pénalités de retard ne seront pas appliquées.

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